La Pompe à huile
en provence, à la croisée des chemins
Sous forme d'une fougasse sucrée biscuitée pour la pompe à huile est avec son cousin le gibassier qui reprend les mêmes ingrédients, une spécialité culinaire entre terroir et traditions Provençales.
Parfumés à la fleur d'oranger ou aux graines d'anis, ces deux produits sont fabriqués avec de l'huile d'olive mais avec un tour de main différent.
Rien de plus normal, dans une région oléicole qui s'étend à travers
la vallée des baux, du pays d'Arles au pays Salonais.
Entre le gibassier et la pompe à huile, Il arrive que certains Provençaux inversent les noms et chacun est persuadé d'avoir raison. On raconte que pour pomper les restes d'huile d'olive dans les petites cuves à huile on utilisait de la farine
et que la pâte ainsi récupérée était sucrée aplatie au rouleau et passé au four.
Gourmandises populaires et rustiques, elles se consomment toute l'année
et à toute heure, seule ou pour accompagner le café et le thé.
Quand elle est dans la cuisine on a du mal à l'oublier.
Dans la tradition Provençale, si chère à Frédéric Mistral, elle est avec son cousin le gibassier un incontournable de "Lou gros soupa de Noël"
(le souper du 24 décembre) et aucun ne se pardonnerait de les avoir oubliées.
Emballée sous vide elle peut se conserver plusieurs mois
NOS POMPES À L'HUILE